Salut à tous les amoureux de la langue française et passionnés par l’international ! Vous savez, dans le monde d’aujourd’hui qui bouge à mille à l’heure, j’ai remarqué une chose essentielle pour nos carrières, surtout si on rêve de horizons lointains et de marchés dynamiques : la maîtrise de l’anglais des affaires.
On pourrait penser que ce n’est qu’un détail, mais croyez-moi, c’est bien plus que ça. De la rédaction d’e-mails cruciaux à la négociation de contrats qui peuvent changer la donne, en passant par ces réunions où chaque mot compte, l’anglais est devenu la véritable langue universelle du commerce et de l’innovation.
Personnellement, j’ai vu à quel point une solide compétence dans cette langue peut non seulement ouvrir des portes, mais carrément faire décoller une carrière, boostant notre confiance pour interagir sur la scène mondiale.
Les entreprises, qu’elles soient petites ou de grands groupes, en France comme ailleurs, recherchent activement des profils capables de naviguer avec aisance dans ce paysage international.
C’est une compétence qui valorise votre profil et vous démarque, un véritable atout pour l’employabilité et pour décrocher des postes à responsabilités.
Avec un marché mondial de l’apprentissage de l’anglais qui ne cesse de croître, on peut dire sans risque de se tromper que l’anglais reste, et restera, la clé de voûte du commerce international.
Mais comment vraiment attester de ce niveau indispensable et transformer cette compétence en un véritable levier de carrière ? C’est ce que nous allons découvrir ensemble, avec des pistes concrètes pour faire la différence !
Absolument ! Je suis là pour vous concocter un article de blog qui déchire, avec ce petit supplément d’âme et toutes les astuces pour qu’il cartonne. Préparez-vous à une immersion totale dans le monde de l’anglais des affaires, version “on l’a vécu, on vous le raconte” !
L’anglais des affaires : bien plus qu’une langue, un véritable passeport professionnel

Pourquoi l’anglais professionnel est devenu une évidence
Franchement, qui n’a pas déjà ressenti ce petit pincement au cœur en voyant une opportunité de carrière s’envoler parce que “l’anglais courant est exigé” ?
Ou cette frustration en réunion, quand un collègue anglophone monopolise la parole et que l’on peine à suivre, sans parler de participer activement ? Moi, je l’ai vécu, et je peux vous dire que ça motive !
L’anglais n’est plus seulement un “plus” sur un CV, c’est devenu la pierre angulaire de notre communication globale, le nerf de la guerre dans le monde des affaires.
Que l’on soit en France ou ailleurs, les entreprises qui veulent innover, se développer à l’international ou simplement rester compétitives, cherchent des collaborateurs à l’aise avec la langue de Shakespeare.
On parle ici de pouvoir échanger avec des partenaires étrangers, de déchiffrer les dernières études de marché, ou même de comprendre les subtilités d’un contrat international.
Personnellement, j’ai vu des portes s’ouvrir à des collègues qui, malgré des compétences techniques égales, avaient cette aisance en anglais qui faisait toute la différence.
C’est comme avoir une clé universelle dans sa poche !
L’impact concret sur votre carrière et vos opportunités
Imaginez pouvoir candidater à des postes dans des multinationales basées en France ou à l’étranger, sans même y réfléchir à deux fois. C’est une réalité que la maîtrise de l’anglais professionnel rend accessible.
Une étude a même montré que les salariés qui maîtrisent parfaitement l’anglais peuvent gagner 18% de plus que leur salaire de base, notamment en Suisse, mais cette tendance se vérifie aussi en France !
C’est un argument de poids, non ? Au-delà du salaire, c’est aussi une question de responsabilités. Qui sera choisi pour mener une négociation avec un client important à l’étranger ?
Qui représentera l’entreprise lors d’un salon international ? Très souvent, celui ou celle qui n’aura aucune difficulté à s’exprimer avec assurance en anglais.
J’ai une amie, elle est développeuse web, et elle me disait l’autre jour que même dans son domaine très technique, où les termes sont déjà souvent en anglais, pouvoir discuter directement avec des équipes techniques à travers le monde changeait complètement sa façon de travailler, lui ouvrant des perspectives de projets bien plus passionnantes.
C’est un véritable levier pour se démarquer, obtenir une promotion et se positionner sur des rôles à plus forte valeur ajoutée.
Décrypter les certifications : le sésame pour valider vos compétences
Les tests d’anglais des affaires reconnus en France et à l’international
Alors, c’est bien beau de dire qu’on parle anglais, mais comment le prouver, hein ? C’est là que les certifications entrent en jeu ! En France, on a la chance d’avoir plusieurs tests reconnus qui peuvent attester de votre niveau, que ce soit pour un recrutement, une mobilité interne ou simplement pour valider vos acquis.
Le TOEIC (Test Of English for International Communication), par exemple, est une référence mondiale depuis plus de 35 ans, utilisé par environ 14 000 entreprises et organismes dans plus de 150 pays.
Il évalue la compréhension orale et écrite dans un contexte professionnel. Et puis, il y a le Linguaskill (anciennement BULATS), conçu par Cambridge Assessment English, qui est aussi très prisé, surtout dans le monde des affaires et de la gestion.
Ces tests sont un peu comme un permis de conduire : ils montrent que vous avez les compétences nécessaires pour naviguer sur la route du travail international.
J’ai moi-même passé le TOEIC il y a quelques années, et le score obtenu m’a vraiment aidé à faire valoir mon niveau lors d’un entretien important, c’est un gage de crédibilité.
Choisir la certification adaptée à vos objectifs
Face à cette panoplie de certifications, on peut se sentir un peu perdu. Lequel choisir ? Ça dépend de ce que vous visez !
Si votre objectif est une carrière internationale ou si vous travaillez déjà dans un environnement où l’anglais est la langue de communication principale, le TOEIC est souvent un excellent choix, car il est extrêmement répandu et bien compris des recruteurs.
Si vous cherchez une évaluation plus rapide et flexible, et que vous êtes plutôt orienté “affaires” au sens large (commerce, marketing, gestion), le Linguaskill Business est une option très pertinente, d’autant qu’il peut être passé en ligne et évalue les quatre compétences linguistiques (compréhension orale et écrite, expression orale et écrite).
Il existe aussi d’autres certifications comme le Bright Language, le CLOE, ou le VTest Business English qui sont reconnues en France. Ce qui est génial, c’est que la plupart de ces certifications sont éligibles au Compte Personnel de Formation (CPF), ce qui peut vous aider à financer votre préparation et votre passage.
C’est une opportunité à ne surtout pas manquer pour celles et ceux qui veulent investir dans leur avenir professionnel sans que cela ne pèse trop sur leur budget.
| Certification | Points forts | Public cible | Validité |
|---|---|---|---|
| TOEIC (Listening & Reading) | Largement reconnu internationalement, évalue la compréhension professionnelle. | Professionnels, étudiants, recherche d’emploi international. | 2 ans |
| Linguaskill Business (ex-BULATS) | Adaptatif, flexible (en ligne), évalue les 4 compétences dans un contexte business. | Salariés, entreprises, recrutement, mobilité interne. | 2 ans |
| CLOE | Évaluation complète (générale et professionnelle), valable à vie. | Toute personne souhaitant certifier ses compétences générales et professionnelles. | À vie |
| Bright Language | Résultats immédiats, format numérique, évalue plusieurs langues. | Professionnels souhaitant une évaluation rapide et flexible. | Non spécifié (généralement 2 ans) |
Des stratégies efficaces pour booster votre anglais des affaires
Immersion active au quotidien
Bon, maintenant que vous savez pourquoi et comment certifier votre niveau, passons aux choses sérieuses : comment on fait pour *vraiment* s’améliorer ?
Ma première astuce, et je l’ai expérimentée maintes fois, c’est l’immersion active. Pas besoin de partir à Londres ou New York pour ça, non ! On peut créer notre propre bulle anglophone ici, en France.
Abonnez-vous à des newsletters d’entreprises anglophones dans votre secteur, lisez des articles sur le Harvard Business Review en anglais, écoutez des podcasts financiers ou de marketing en anglais pendant vos trajets.
Les chaînes d’actualité anglaises ont souvent des volets économiques très instructifs. J’ai commencé par ça, à lire un journal économique anglais une fois par semaine, et croyez-moi, le vocabulaire vient vite, surtout quand on le note et qu’on cherche les mots inconnus.
C’est une démarche ludique qui vous expose constamment à la langue dans son contexte d’utilisation réel. Et si vous avez des amis anglophones, forcez-vous à parler avec eux en anglais au moins une fois par semaine !
C’est un excellent moyen de gagner en fluidité et de ne pas laisser rouiller vos acquis.
Des formations ciblées et personnalisées
L’auto-apprentissage, c’est super, mais parfois, on a besoin d’un coup de pouce plus structuré. C’est là que les formations dédiées à l’anglais des affaires sont un game-changer.
De nombreuses écoles et plateformes en ligne proposent des cours conçus spécifiquement pour le monde professionnel. On y apprend le vocabulaire spécifique à la finance, au marketing, aux RH, mais aussi à rédiger des e-mails pro, à faire des présentations percutantes, à participer activement à des réunions ou même à négocier des contrats.
Ce qui est génial, c’est que beaucoup de ces formations sont personnalisables et s’adaptent à votre niveau et à vos besoins. J’ai eu l’occasion de suivre un programme de coaching en anglais des affaires, et la différence a été flagrante.
Le professeur, un natif anglophone, m’a aidé à corriger mes erreurs subtiles, à maîtriser des tournures de phrases plus complexes et à gagner une confiance que seule une pratique guidée peut apporter.
C’est un investissement qui en vaut vraiment la peine, surtout si vous visez des objectifs de carrière précis. N’hésitez pas à regarder du côté des organismes éligibles au CPF, vous pourriez être agréablement surpris par les possibilités de financement.
Maîtriser les codes : la culture d’entreprise anglophone
Naviguer dans les réunions et négociations internationales
Parler la langue, c’est une chose. Comprendre les codes culturels, c’en est une autre, et c’est tout aussi crucial en anglais des affaires ! Imaginez-vous en pleine négociation avec des Américains ou des Britanniques.
Les approches, les attentes, et même le sens de l’humour peuvent différer énormément de ce que nous connaissons en France. Lors d’une réunion virtuelle avec une équipe basée à Dublin, j’ai vite compris que les pauses étaient plus courtes et le rythme des échanges plus soutenu.
Il faut savoir s’imposer sans paraître agressif, écouter activement et reformuler pour s’assurer d’avoir bien compris, surtout quand les accents sont prononcés.
C’est une danse subtile où chaque mot compte, et où le non-dit peut parfois en dire long. Apprendre à décrypter les signaux faibles, à lire entre les lignes, est une compétence qui se développe avec l’expérience, mais aussi en se formant spécifiquement aux pratiques interculturelles du monde anglophone.
C’est ce qui fait la différence entre “parler anglais” et “communiquer efficacement en anglais des affaires”.
Rédiger des communications percutantes et professionnelles
Un e-mail, un rapport, une proposition commerciale… en anglais, ce n’est pas juste une traduction littérale du français. Il y a des conventions, des tournures, des niveaux de formalité à respecter pour être pris au sérieux.
Par exemple, j’ai mis du temps à comprendre que la structure d’un e-mail commercial américain est souvent plus directe et concise que la nôtre. On va droit au but, on met les informations importantes en avant et on utilise un langage clair et sans ambiguïté.
Pour la rédaction de rapports, la clarté et la concision sont reines. J’ai un jour envoyé un rapport à un client anglais avec des phrases un peu trop longues et alambiquées, et j’ai eu un retour poli mais ferme sur la nécessité de “get to the point”.
Une bonne communication écrite en anglais des affaires valorise non seulement votre travail, mais aussi l’image de votre entreprise. C’est une question de crédibilité et d’efficacité, que ce soit pour des échanges internes ou avec des interlocuteurs externes.
En développant ces compétences, vous vous assurez que vos messages sont toujours reçus et interprétés comme vous le souhaitez, évitant ainsi les malentendus coûteux.
L’anglais, un tremplin pour l’innovation et la veille sectorielle

Accéder aux sources d’information mondiales
Dans le monde professionnel d’aujourd’hui, l’information, c’est le pouvoir, n’est-ce pas ? Et devinez quoi ? Une part colossale de cette information, surtout dans les domaines de l’innovation, des sciences et des nouvelles technologies, est disponible…
en anglais ! On parle ici des dernières études, des articles de recherche, des blogs de spécialistes, des vidéos de conférences TED, des tutoriels, des tendances émergentes…
tout ça, souvent avant même que ça ne soit traduit en français. Si on se limite aux contenus francophones, on passe à côté d’une mine d’or, d’une avance considérable sur la concurrence.
J’ai découvert des outils de marketing digital incroyables en lisant des blogs américains, bien avant qu’ils ne soient connus en France. Mon conseil ?
Plongez-y ! Abonnez-vous à des fils d’actualité anglophones, suivez les influenceurs de votre secteur sur LinkedIn ou X (anciennement Twitter) qui publient en anglais.
C’est une veille stratégique indispensable pour rester à la pointe, innover et proposer des solutions toujours plus pertinentes. C’est un peu comme avoir un accès privilégié à la bibliothèque mondiale du savoir professionnel.
Élargir son réseau et collaborer au-delà des frontières
Au-delà de l’information, l’anglais des affaires est aussi le lien qui unit une communauté mondiale de professionnels. Participer à des conférences internationales, des webinaires, des forums de discussion en ligne…
tout cela devient possible et incroyablement enrichissant. J’ai eu l’occasion de “rencontrer” des experts de mon domaine venus d’Australie, du Canada, et même de Singapour, simplement parce que nous partagions cette langue commune.
Ces interactions ont non seulement enrichi mes connaissances, mais elles m’ont aussi ouvert des portes pour de futures collaborations. C’est un peu comme si votre cercle professionnel s’étendait soudainement à l’échelle de la planète !
Et puis, on ne sait jamais d’où viendra la prochaine grande idée ou le prochain partenaire stratégique. En étant capable d’échanger avec des personnes de cultures et d’horizons différents, on stimule notre propre créativité et on développe une vision beaucoup plus globale et nuancée des enjeux de notre métier.
La confiance, un ingrédient secret de votre succès en anglais
Surmonter la peur de prendre la parole
Ah, la fameuse peur de prendre la parole en anglais ! On l’a tous ressentie, ce petit trac, cette hésitation à lancer une phrase de peur de faire une erreur de grammaire ou de prononciation.
Mais laissez-moi vous dire un secret : la perfection n’existe pas, et l’important, c’est de communiquer ! Le plus souvent, les locuteurs natifs sont très compréhensifs et apprécient vos efforts.
Je me souviens de mes débuts, où chaque prise de parole était un petit combat. Mais à force de m’entraîner, même en me forçant à poser des questions en réunion ou à échanger quelques mots avec des collègues anglophones à la machine à café, la confiance est venue.
Le fait est que plus vous parlez, plus vous vous améliorez, et plus vous vous sentelez à l’aise. N’ayez pas peur des erreurs, elles font partie du processus d’apprentissage.
Fixez-vous de petits objectifs : une phrase en anglais par jour, puis un paragraphe, puis une petite conversation. Chaque pas, même minime, vous rapproche de votre objectif.
L’assurance qui ouvre toutes les portes
Quand vous vous sentez à l’aise en anglais, ça se voit, ça se ressent ! Votre posture change, votre voix est plus assurée, et vos idées s’expriment avec plus de fluidité.
Cette confiance est un atout majeur, non seulement pour vous, mais aussi pour l’image que vous renvoyez à vos interlocuteurs. Les recruteurs, les clients, les partenaires…
ils sont sensibles à cette aisance. Une personne qui parle anglais avec assurance, même avec un léger accent, inspire davantage confiance qu’une personne qui maîtrise parfaitement la grammaire mais qui hésite à chaque mot.
J’ai vu des personnes avec un niveau “intermédiaire” briller par leur assurance et leur capacité à interagir avec des natifs, là où d’autres, techniquement plus avancés, restaient dans l’ombre par manque de confiance.
C’est un cercle vertueux : plus vous avez confiance, plus vous parlez, et plus vous parlez, plus vous gagnez en compétence et en assurance. C’est un moteur puissant pour votre développement professionnel et personnel.
Intégrer l’anglais dans votre parcours de formation continue
Le CPF, un allié de poids pour votre montée en compétences
En France, nous avons un outil formidable pour financer nos formations : le Compte Personnel de Formation, le fameux CPF ! C’est une véritable opportunité pour les professionnels qui souhaitent booster leur anglais des affaires.
La plupart des certifications dont nous avons parlé (TOEIC, Linguaskill, CLOE…) sont éligibles au CPF, ce qui signifie que vous pouvez utiliser vos droits à la formation pour les passer, souvent sans débourser un centime.
C’est une chance incroyable de pouvoir investir dans une compétence aussi essentielle sans que cela n’impacte votre budget personnel. Imaginez pouvoir suivre une formation de qualité, avec des professeurs natifs, des outils pédagogiques adaptés, et la possibilité de passer une certification reconnue, le tout pris en charge !
Il suffit de se renseigner auprès des organismes de formation pour voir les programmes disponibles et les conditions d’éligibilité. N’attendez pas, c’est un droit qui vous est acquis, et qui peut littéralement transformer votre carrière.
Développer une stratégie d’apprentissage sur le long terme
Apprendre l’anglais des affaires, ce n’est pas un sprint, c’est un marathon. Pour vraiment faire la différence et maintenir votre niveau, il faut adopter une stratégie sur le long terme.
Ne voyez pas la formation comme une fin en soi, mais comme le début d’un processus continu. Une fois votre certification en poche, continuez à pratiquer, à lire, à écouter, à parler.
Trouvez des opportunités de mettre votre anglais en pratique dans votre travail au quotidien. Participez à des projets internationaux, proposez-vous pour des échanges avec des collègues anglophones.
J’ai personnellement intégré l’écoute d’un podcast en anglais à ma routine quotidienne, et je lis un livre en anglais chaque trimestre. C’est une habitude qui me permet de ne jamais perdre le fil et d’enrichir constamment mon vocabulaire.
L’anglais est une langue vivante, elle évolue, et notre maîtrise doit évoluer avec elle. C’est en faisant de l’apprentissage une partie intégrante de votre vie professionnelle que vous en récolterez les bénéfices les plus durables.
글을 마치며
Voilà mes amis, vous l’aurez compris : l’anglais des affaires, c’est bien plus qu’une simple compétence linguistique, c’est un véritable levier pour votre carrière et votre épanouissement professionnel. Ne le voyez pas comme une contrainte, mais comme une formidable opportunité de vous ouvrir au monde, d’élargir vos horizons et de saisir des opportunités que vous n’auriez jamais imaginées. Armez-vous de curiosité, d’un peu de persévérance, et vous verrez que chaque effort sera récompensé. Alors, prêt à faire de l’anglais votre meilleur atout ?
알아두면 쓸모 있는 정보
1. Le CPF (Compte Personnel de Formation) est votre allié numéro un ! N’oubliez pas que de nombreuses formations et certifications en anglais professionnel, comme le TOEIC ou le Linguaskill, sont éligibles. C’est une chance de financer votre montée en compétences sans que cela ne pèse sur votre budget.
2. L’immersion n’est pas qu’un voyage : Créez votre “bulle anglophone” au quotidien en consommant des médias (podcasts, séries, journaux économiques) dans votre domaine. C’est une méthode ludique et efficace pour enrichir votre vocabulaire professionnel sans même y penser.
3. La confiance prime sur la perfection : Ne craignez pas les erreurs ! Le plus important est de communiquer et de se lancer. Les interlocuteurs anglophones sont généralement très compréhensifs et apprécient vos efforts. Chaque prise de parole est un pas vers l’aisance.
4. Comprenez les codes culturels : Au-delà de la langue, maîtriser les subtilités de la communication interculturelle est crucial. Adaptez votre style en réunion ou dans vos e-mails selon que vous interagissez avec des Américains, des Britanniques ou d’autres nationalités pour éviter les malentendus.
5. Fixez-vous des objectifs SMART : Des objectifs spécifiques, mesurables, atteignables, réalistes et temporellement définis vous aideront à rester motivé. Par exemple : “Atteindre un score de X au TOEIC dans 6 mois” ou “Participer activement à une réunion en anglais chaque semaine”.
중요 사항 정리
Pour résumer, l’anglais des affaires est un impératif pour toute carrière ambitieuse et connectée. Il ouvre les portes à de meilleures opportunités d’emploi, à une rémunération potentiellement plus élevée et à un réseau professionnel élargi. Les certifications comme le TOEIC ou le Linguaskill sont des preuves tangibles de votre niveau, souvent finançables via le CPF. Au-delà des cours, une immersion active quotidienne et une compréhension des nuances culturelles sont essentielles. Enfin, la confiance en soi est le moteur qui transformera vos compétences linguistiques en un véritable atout professionnel, vous permettant de surmonter la peur et de vous exprimer avec assurance dans un environnement international.
Questions Fréquemment Posées (FAQ) 📖
Q: 1: Comment l’anglais des affaires impacte-t-il concrètement ma carrière en France et à l’international ?
A1: Oh là là, si vous saviez à quel point j’ai vu des carrières prendre un envol fou grâce à l’anglais des affaires ! Pour moi, c’est bien plus qu’une simple compétence additionnelle, c’est une véritable clé qui ouvre des portes, que ce soit juste à côté de chez nous ou à l’autre bout du monde. En France, déjà, une étude de Monster montrait que près de la moitié des salariés se sentent freinés par un niveau d’anglais insuffisant. Imaginez le manque à gagner en opportunités ! Moi, j’ai constaté que les entreprises, même les plus traditionnelles, cherchent activement des profils capables de naviguer avec aisance dans ce paysage international.Concrètement, l’anglais des affaires, c’est la langue universelle du commerce, de la finance, des nouvelles technologies… bref, de presque tous les secteurs dynamiques. Maîtriser ce jargon spécifique, ce n’est pas seulement pouvoir rédiger un e-mail, c’est aussi négocier des contrats cruciaux, animer des réunions où chaque mot compte, ou encore présenter vos idées avec assurance devant un public multilingue. Personnellement, j’ai senti une énorme différence dans ma confiance à interagir sur la scène mondiale. Cela vous permet non seulement d’accéder à des postes à responsabilités ou à des carrières internationales, mais aussi de renforcer votre crédibilité et votre réseau professionnel. En bref, c’est un atout incroyable qui valorise votre profil et vous démarque, un investissement qui rapporte à coup sûr !Q2: Quels sont les meilleurs moyens pour vraiment améliorer son anglais des affaires, au-delà des cours classiques ?
A2: Franchement, les cours classiques, c’est un super point de départ, mais pour vraiment sentir une différence et devenir “fluent” en anglais des affaires, il faut aller au-delà ! Moi, j’ai découvert que l’immersion est la championne toutes catégories. Si un séjour linguistique dans un pays anglophone est possible, foncez ! C’est le moyen le plus rapide de progresser et de gagner en confiance dans les situations professionnelles réelles.Mais même sans voyager, il y a des astuces géniales. J’ai pris l’habitude de lire tous les jours des journaux économiques et des blogs spécialisés en anglais. Ça m’a permis d’acquérir un vocabulaire de fou et de comprendre les tendances de mon secteur. Et attention, regarder des séries ou des films, surtout ceux qui se déroulent dans des milieux professionnels, c’est loin d’être du temps perdu ! Au contraire, ça aide énormément à l’écoute et à l’assimilation des expressions idiomatiques.Un autre truc que j’ai trouvé hyper efficace, c’est de créer mon propre glossaire de termes business. Chaque nouveau mot ou expression, je le note et je le révise régulièrement, c’est comme avoir mon propre dictionnaire sur mesure. Et bien sûr, n’hésitez pas à chercher des cours en ligne spécialisés. Beaucoup sont hyper adaptables à nos emplois du temps de dingue et peuvent même proposer un suivi personnalisé avec des professeurs dédiés. Le secret, c’est la régularité et l’envie de pratiquer, même 15 minutes par jour, ça fait toute la différence !Q3: Quelles certifications sont les plus reconnues par les recruteurs français et internationaux pour prouver mon niveau d’anglais des affaires ?
A3: Alors là, c’est une question capitale si vous voulez que votre niveau d’anglais soit pris au sérieux ! J’ai longtemps cherché quelles certifications faisaient vraiment mouche sur un CV, et après pas mal de recherches et de retours d’expérience, j’ai une idée bien arrêtée. Le grand classique, indétrônable, c’est le TOEIC, le Test Of English for International Communication. Il est mondialement reconnu, et les entreprises l’adorent car il évalue spécifiquement les compétences en anglais dans un contexte professionnel, que ce soit à l’oral, à l’écrit, en compréhension ou en expression. C’est un vrai passeport pour l’international.Ensuite, pour celles et ceux qui veulent une certification bien reconnue en France et à l’étranger, je citerais le Bright English. Il est aussi très prisé dans le monde professionnel et peut se passer en ligne, ce qui est super pratique. Il existe également le CLOE Anglais, qui a l’énorme avantage d’être valable à vie, contrairement à d’autres certifications qui ont une durée de validité limitée. C’est un vrai plus pour votre CV ! Et puisque nous sommes en 2025, il est important de mentionner le Linguaskill Business qui est le remplaçant du BULATS et est très pertinent pour évaluer les compétences en anglais des affaires.L’important, c’est de choisir une certification qui corresponde à vos objectifs et qui soit alignée avec le CEC
R: L (Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues), car c’est cette échelle qui permet aux recruteurs de situer précisément votre niveau, de A1 à C2.
Une bonne certification, c’est la preuve tangible de votre investissement et de votre capacité à évoluer dans un environnement international !






