Salut à toutes et à tous, mes passionnés du commerce et de l’international ! Vous savez, parfois, l’anglais des affaires peut ressembler à un véritable labyrinthe, surtout quand il s’agit des fameux examens pratiques.
On a beau réviser, lire des rapports, suivre l’actualité économique, il y a toujours ces questions épineuses, ces formulations spécifiques qui nous font douter.
Je l’ai vécu personnellement, cette sensation de ne pas savoir par où commencer ou de buter sur un détail technique qui semble pourtant si anodin. Avec la mondialisation qui ne cesse de s’accélérer et l’explosion du e-commerce, une communication impeccable en anglais est devenue vraiment le nerf de la guerre.
Les erreurs ne sont plus permises, et la clarté est reine, surtout quand on négocie avec des partenaires aux quatre coins du globe, en gardant toujours à l’esprit les spécificités culturelles de chacun.
J’ai remarqué, au fil de mes échanges avec beaucoup d’entre vous, que certaines interrogations reviennent inlassablement. On se demande tous quels sont les pièges à éviter, les expressions à maîtriser absolument, ou encore la meilleure façon de se préparer pour être au top le jour J.
Face à ces défis, et avec l’évolution des pratiques commerciales vers toujours plus de digital et de rapidité, se sentir confiant dans son anglais est un atout inestimable pour votre carrière, que ce soit pour signer un contrat à Paris ou pour participer à une réunion virtuelle avec des collègues à l’étranger.
C’est un peu comme avoir une longueur d’avance dans la course mondiale. Alors, si vous voulez déjouer les pièges, maîtriser les subtilités et transformer ces défis en opportunités, j’ai une excellente nouvelle pour vous.
On va décortiquer ensemble les questions les plus fréquentes et je vais vous partager mes meilleurs conseils pour briller. Prêt(e)s à percer les secrets de l’anglais commercial pratique et à faire de ces examens une simple formalité ?
On va en parler en détail juste en dessous !
Décrypter les attentes spécifiques des examens d’anglais des affaires

Vous savez, le premier pas vers la réussite, c’est de bien comprendre le terrain de jeu. Pour ces examens d’anglais des affaires, ce n’est pas juste une question de vocabulaire ou de grammaire pure ; il y a toute une dimension pratique et contextuelle à saisir.
Je me souviens de mes débuts, où je pensais qu’une bonne connaissance de l’anglais général suffirait. Quelle erreur ! On est vite confronté à des scénarios très spécifiques, des formulations qu’on n’apprend pas forcément à l’école, et des attentes précises sur la manière de structurer une réponse ou de participer à une discussion.
C’est un peu comme passer du football de rue à un match de Ligue 1 : les bases sont là, mais les tactiques et les règles sont bien plus pointues.
Comprendre la structure et les objectifs de chaque épreuve
Chaque épreuve a ses propres défis. L’écoute demande une concentration extrême pour capter les chiffres, les noms propres, les délais, et les objectifs commerciaux.
La lecture, elle, exige de déceler rapidement les informations clés dans des rapports ou des emails professionnels parfois denses. Et que dire de l’expression écrite ?
Il ne s’agit pas d’écrire un roman, mais un email clair, une proposition concise ou un compte rendu pertinent, tout en respectant les codes de la politesse professionnelle anglophone.
Quant à l’oral, c’est votre capacité à interagir, argumenter, et négocier qui est testée. J’ai constaté que beaucoup échouent non pas par manque de connaissances, mais par une mauvaise compréhension des consignes ou par une approche générique.
Il faut s’entraîner spécifiquement pour chaque format, comme un athlète qui adapte son entraînement à la discipline.
Les nuances culturelles dans la communication commerciale en anglais
Au-delà de la langue, il y a aussi une dimension culturelle cruciale. Ce qui est direct et accepté en France peut être perçu comme abrupt ou impoli dans un contexte anglo-saxon, et vice-versa.
J’ai eu une fois un partenaire américain qui a mal interprété une de mes phrases, pourtant correcte grammaticalement, parce qu’elle manquait de “softeners” ou de tournures plus indirectes qu’ils apprécient.
C’est une leçon que je n’ai jamais oubliée. Il faut savoir quand être formel, quand on peut se permettre une touche plus personnelle, et comment naviguer entre les différentes attentes selon que l’on s’adresse à un Anglais, un Américain, un Australien ou même un interlocuteur asiatique utilisant l’anglais comme langue de travail.
C’est cette sensibilité qui fait la différence entre parler anglais et “communiquer” en anglais des affaires.
Maîtriser le lexique et les expressions clés : votre arsenal verbal
Si vous voulez vous sentir à l’aise et avoir un impact, il est impératif de posséder un vocabulaire spécialisé et des expressions idiomatiques qui sont monnaie courante dans le monde des affaires.
C’est votre boîte à outils, et sans les bons outils, n’importe quel travail devient une corvée. J’ai passé des heures à écumer les articles de journaux économiques, les rapports d’entreprise, et les manuels de formation pour me forger cet arsenal.
On ne peut pas improviser quand on parle de “supply chain disruption” ou de “return on investment”. Chaque secteur a ses jargons et il faut les connaître pour ne pas paraître novice.
Vocabulaire indispensable : finance, marketing, logistique
Pensez aux termes liés à la finance : “quarterly earnings”, “cash flow”, “balance sheet”. En marketing, on parle de “target audience”, “brand awareness”, “market share”.
Pour la logistique, ce sont des expressions comme “inventory management”, “shipping terms”, “customs clearance”. Ce ne sont pas de simples mots, ce sont des concepts qui sous-tendent des discussions et des décisions stratégiques.
Ce que j’ai trouvé le plus efficace, c’est de créer des fiches thématiques avec des exemples d’utilisation en contexte. Non seulement ça aide à la mémorisation, mais ça permet aussi d’éviter les contresens.
J’ai vu des négociations échouer parce que les mots n’étaient pas les bons, créant de la confusion et de la méfiance.
| Expression anglaise | Signification en français | Contexte d’utilisation |
|---|---|---|
| To hit the ground running | Démarrer sur les chapeaux de roue | Commencer un projet avec enthousiasme et efficacité. |
| Win-win situation | Situation gagnant-gagnant | Un accord bénéfique pour toutes les parties impliquées. |
| To think outside the box | Penser de manière non conventionnelle | Aborder un problème avec créativité, hors des sentiers battus. |
| Bottom line | Résultat net / L’essentiel | Le profit final ou l’aspect le plus important d’une situation. |
| To be on the same page | Être sur la même longueur d’onde | Avoir la même compréhension et les mêmes objectifs. |
| Due diligence | Diligence raisonnable | Recherche et vérification préalable avant de signer un contrat. |
| Value proposition | Proposition de valeur | Les bénéfices qu’un produit ou service apporte au client. |
Expressions idiomatiques et phrasal verbs : l’art de la fluidité
Ah, les fameux “phrasal verbs” et les expressions idiomatiques ! C’est souvent là que le bât blesse pour les non-natifs. Mais c’est aussi ce qui donne à votre anglais cette touche de naturel, cette fluidité qui impressionne.
Au lieu de dire “postpone”, on dira souvent “put off”. Un problème difficile ? C’est un “tough nut to crack”.
Lorsque j’ai commencé à les intégrer consciemment dans mon discours et ma rédaction, j’ai senti un vrai bond en avant. Mes interlocuteurs m’écoutaient différemment, avec plus de respect pour ma maîtrise de la langue.
Il ne s’agit pas de les utiliser à tort et à travers, mais de les choisir judicieusement pour enrichir votre communication et montrer que vous êtes vraiment “dans le bain” des affaires anglophones.
C’est un investissement en temps, certes, mais le retour est énorme.
Stratégies éprouvées pour chaque section de l’examen
Chaque partie de l’examen d’anglais des affaires est une bête différente, et il faut l’apprivoiser avec des techniques spécifiques. Penser que l’on peut tout réussir avec une seule et même approche, c’est comme essayer d’ouvrir toutes les serrures avec la même clé.
Ça ne marche pas. Au fil de mes propres préparations et de l’accompagnement de nombreux collègues, j’ai affiné des méthodes qui, croyez-moi, font la différence.
On ne se contente pas de “faire l’examen”, on le “déjoue”.
Perfectionner l’écoute : anticiper et noter l’essentiel
Pour l’écoute, l’erreur classique est d’essayer de tout comprendre mot à mot. Impossible et contre-productif ! Ce qu’il faut, c’est développer une capacité d’anticipation.
Avant même que l’audio ne commence, lisez les questions. Qu’est-ce que l’on attend de vous ? Des dates ?
Des noms ? Des chiffres ? Des opinions ?
Puis, pendant l’écoute, concentrez-vous sur ces informations spécifiques. Ne paniquez pas si vous manquez un mot ou une phrase. Ce qui compte, c’est la vue d’ensemble et les détails pertinents.
J’ai personnellement trouvé qu’écouter des podcasts professionnels en anglais (même en faisant mon jogging !) m’a énormément aidé à aiguiser cette capacité à filtrer l’information et à m’habituer aux différents accents et débits.
La rédaction : clarté, concision et structure irréprochable
La section écrite est un art en soi. Ici, la règle d’or est la clarté. Imaginez que votre lecteur est pressé et n’a pas le temps de déchiffrer des phrases complexes ou des idées mal organisées.
Structurez vos écrits de manière logique : une introduction, des paragraphes bien définis avec une idée principale par paragraphe, et une conclusion. Utilisez des connecteurs logiques pour fluidifier votre propos (“however”, “therefore”, “in addition”).
Évitez les redondances et soyez concis. Un bon test : demandez-vous si chaque phrase apporte une information nouvelle et utile. Et surtout, relisez-vous !
Une faute de frappe ou une erreur grammaticale basique peut donner une impression de négligence qui nuit à votre crédibilité. C’est une habitude que j’ai prise, même pour les emails rapides : une relecture éclair évite souvent bien des malentendus.
L’expression orale : impact et persuasion
Parler en anglais, surtout lors d’un examen, peut être intimidant. Mais rappelez-vous que l’objectif est de communiquer efficacement. Ne cherchez pas la perfection grammaticale à tout prix si cela vous empêche de vous exprimer.
Concentrez-vous sur la fluidité et l’articulation de vos idées. Préparez quelques phrases d’accroche pour les présentations et des arguments clés pour les discussions.
Utilisez des exemples concrets pour illustrer vos propos. Ce que j’ai trouvé vraiment utile, c’est de m’enregistrer. Écouter ma propre voix m’a permis d’identifier mes tics de langage, mes hésitations, et d’améliorer ma prononciation.
Demandez aussi à des amis ou des collègues anglophones de pratiquer avec vous. Le retour d’expérience est inestimable pour affiner votre élocution et votre confiance en vous.
La gestion du temps : votre meilleur allié le jour J
On a beau être le meilleur en anglais, si l’on ne gère pas son temps, c’est la catastrophe assurée. J’ai vu trop de candidats, y compris moi-même à mes débuts, se faire piéger par le chrono.
L’examen n’est pas seulement un test de compétences linguistiques, c’est aussi un test de stratégie et de résilience. Chaque minute compte, et savoir comment l’optimiser peut vous faire gagner des points précieux.
C’est un peu comme une course contre la montre où chaque seconde perdue peut coûter cher. Ne sous-estimez jamais l’importance d’une bonne planification avant et pendant l’épreuve.
Techniques de lecture rapide et d’analyse
Pour les sections de lecture et même pour comprendre les instructions rapidement, la lecture rapide est une compétence fantastique. Il ne s’agit pas de survoler, mais de savoir où chercher l’information.
Entraînez-vous à identifier les mots-clés, les titres, les sous-titres, et la première phrase de chaque paragraphe. Cela vous donne une idée générale du contenu sans avoir à lire chaque mot.
Une fois que vous savez ce que vous cherchez (grâce aux questions), vous pouvez y aller plus spécifiquement. J’ai commencé par des exercices simples sur des articles de presse, en me chronométrant.
C’est surprenant à quel point on peut améliorer sa vitesse de compréhension en quelques semaines de pratique régulière. C’est une compétence qui vous servira bien au-delà de l’examen, croyez-moi.
Prioriser les tâches et ne pas s’attarder sur les difficultés
Lorsque vous êtes face à une épreuve, regardez l’ensemble du sujet. Identifiez les questions que vous trouvez les plus faciles ou celles qui rapportent le plus de points et commencez par celles-là.
L’objectif est de maximiser votre score. Si vous butez sur une question, ne perdez pas un temps précieux. Faites une marque et passez à la suivante.
Vous pourrez y revenir si vous avez du temps à la fin. Cette approche non seulement vous permet de sécuriser des points, mais elle réduit aussi le stress.
Je me souviens d’un examen où j’étais bloqué sur une question de grammaire très subtile. Au lieu de m’acharner, j’ai continué, et j’ai eu le temps de revenir dessus à la fin avec un esprit plus clair.
Résultat : j’ai trouvé la réponse et j’ai évité de perdre des points sur d’autres questions que j’aurais pu faire facilement.
Application concrète : au-delà de l’examen, vers l’efficacité professionnelle

Ces examens ne sont pas une fin en soi, mais un tremplin. L’objectif ultime, c’est de pouvoir utiliser cet anglais des affaires avec aisance et confiance dans votre carrière quotidienne.
Je pense souvent à toutes les opportunités que ma maîtrise de l’anglais m’a offertes, des négociations avec des clients internationaux aux présentations devant des équipes multiculturelles.
C’est là que l’investissement que vous faites aujourd’hui prend tout son sens. La théorie, c’est bien, mais la pratique, c’est la clé.
Simulations de situations réelles : réunions, négociations, présentations
Pour vraiment ancrer vos connaissances et vous sentir prêt, rien ne vaut les simulations. Créez des scénarios réalistes avec des partenaires linguistiques.
Organisez des “fausses” réunions en anglais, pratiquez des négociations sur des produits fictifs, ou préparez des présentations sur des sujets qui vous passionnent.
Ces exercices vous forcent à mobiliser votre vocabulaire, vos structures grammaticales, et votre capacité à réagir spontanément. Quand j’ai commencé à faire ça, j’ai réalisé à quel point la théorie était différente de la pratique.
Ça aide aussi à identifier vos points faibles dans un environnement sans stress. Par exemple, j’ai découvert que j’avais tendance à utiliser trop de verbes à particules, ce qui n’était pas toujours clair pour des non-natifs.
Ces simulations m’ont permis de rectifier le tir.
Construire un réseau professionnel anglophone
Le meilleur moyen de rester affûté et de continuer à progresser, c’est de s’immerger. Et pour cela, quoi de mieux que de construire un réseau professionnel anglophone ?
Participez à des webinaires internationaux, rejoignez des groupes LinkedIn dédiés à votre secteur d’activité, ou même des associations professionnelles.
N’ayez pas peur d’engager la conversation, de poser des questions, d’échanger des idées. Chaque interaction est une occasion d’apprendre de nouvelles expressions, de se familiariser avec différents accents, et de comprendre les subtilités culturelles.
C’est ainsi que l’on passe d’un anglais “scolaire” à un anglais “vivant” et efficace, celui qui ouvre les portes et crée des opportunités inattendues.
On se sent moins seul et plus connecté au monde des affaires global.
Éviter les pièges courants et gérer le stress
Même les plus expérimentés d’entre nous peuvent tomber dans certains pièges, surtout sous la pression d’un examen. Mais l’avantage, c’est que la plupart de ces pièges sont prévisibles et donc évitables.
C’est en connaissant les erreurs typiques que l’on peut se préparer à les contourner. Et puis, parlons du stress, cet invité indésirable qui peut gâcher tous nos efforts.
Le maîtriser, c’est déjà la moitié du chemin parcouru.
Les erreurs grammaticales et lexicales à bannir absolument
Il y a des erreurs qui sont récurrentes et qui coûtent cher. Par exemple, la confusion entre “affect” et “effect”, l’usage incorrect des prépositions, les accords sujet-verbe, ou encore les faux-amis.
Un faux-ami, c’est ce mot qui ressemble à un mot français mais qui a un sens totalement différent. Je me souviens avoir utilisé “sensible” pour “sensible” en français, alors qu’en anglais, cela signifie “raisonnable”.
Un instant de gêne m’a appris la leçon ! Créez une liste personnelle de ces erreurs fréquentes et révisez-la régulièrement. Demandez à quelqu’un de relire vos écrits ou de vous écouter pour qu’il puisse les identifier.
C’est un travail de détective, mais essentiel pour peaufiner votre anglais.
Maîtriser son trac et rester concentré
Le stress est une réaction naturelle, mais il ne doit pas prendre le dessus. Avant l’examen, assurez-vous de bien dormir, de manger équilibré, et d’arriver en avance pour éviter toute précipitation.
Pendant l’épreuve, si vous sentez la panique monter, prenez une courte pause, respirez profondément. Concentrez-vous sur votre respiration pendant quelques secondes.
Cela peut sembler simpliste, mais c’est incroyablement efficace pour réaligner vos pensées. Rappelez-vous que vous avez travaillé dur et que vous êtes capable.
J’ai appris que le trac peut même être une source d’énergie, si on arrive à le canaliser. C’est une question de perception et de préparation mentale. Visualisez votre succès, et laissez l’énergie positive prendre le relais.
Ressources numériques et outils innovants pour une préparation optimisée
À l’ère du numérique, il serait dommage de se priver des innombrables ressources disponibles pour perfectionner son anglais des affaires. Finie l’époque des manuels poussiéreux !
Aujourd’hui, votre smartphone est un véritable centre de formation linguistique, et le web regorge de trésors pour vous aider à affiner vos compétences.
J’ai personnellement exploré un tas d’options, et je peux vous dire que certaines ont complètement transformé ma manière d’apprendre et de réviser.
Applications mobiles et plateformes d’apprentissage interactives
Il existe une multitude d’applications dédiées à l’apprentissage de l’anglais des affaires, comme Business English App ou des modules spécifiques sur des plateformes comme Coursera ou edX.
Ces outils proposent souvent des exercices interactifs, des quizz, des simulations de dialogues professionnels, et même des cours sur des sujets pointus comme la finance durable ou le marketing digital en anglais.
L’avantage, c’est que vous pouvez apprendre à votre rythme, n’importe où et n’importe quand. J’utilise personnellement une application (je ne peux pas citer de marque, mais je peux vous dire qu’elle est excellente pour le vocabulaire financier) qui me propose des défis quotidiens.
C’est ludique, addictif et super efficace pour mémoriser. Pensez aussi aux sites qui offrent des tests blancs pour vous familiariser avec le format des examens.
Les podcasts et vidéos pour une immersion quotidienne
Pour une immersion totale et une amélioration de votre compréhension orale, les podcasts et vidéos sont des alliés précieux. Des émissions comme Harvard Business Review IdeaCast ou des chaînes YouTube dédiées à l’actualité économique en anglais sont une mine d’or.
Non seulement vous améliorez votre écoute et votre compréhension des accents variés, mais en plus, vous restez informé des dernières tendances du monde des affaires.
J’ai pris l’habitude d’écouter un podcast d’actualité économique chaque matin en prenant mon café, c’est ma petite routine pour me tenir au courant et entretenir mon anglais.
Vous pouvez même trouver des séries de vidéos simulant des entretiens d’embauche ou des présentations pour vous préparer spécifiquement à ces situations.
C’est une façon très naturelle et peu contraignante d’intégrer l’anglais dans votre quotidien.
En guise de conclusion
Voilà, mes chers amis, notre exploration de l’anglais des affaires touche à sa fin pour aujourd’hui. J’espère sincèrement que ces conseils, fruits de mes propres expériences et de mes observations au fil des ans, vous seront d’une aide précieuse. Se préparer à ces examens ou simplement chercher à exceller dans un environnement professionnel anglophone, c’est un véritable marathon, pas un sprint. Mais chaque pas que vous faites, chaque mot appris, chaque nuance comprise, vous rapproche de la ligne d’arrivée. N’oubliez jamais que l’anglais, c’est bien plus qu’une langue : c’est un passeport pour un monde d’opportunités, un outil puissant pour construire des ponts et créer des liens. Alors, continuez à explorer, à apprendre, et surtout, à prendre plaisir dans ce magnifique voyage linguistique !
Informations utiles à connaître
1. Pour ceux qui préparent des certifications, de nombreux centres d’examen proposent des sessions de préparation. N’hésitez pas à vous renseigner, souvent les retours d’anciens candidats sont très instructifs sur les spécificités locales de l’épreuve.
2. Créez un glossaire personnalisé avec les termes techniques de votre propre secteur d’activité. C’est un gain de temps incroyable et ça vous rendra instantanément plus crédible lors des échanges professionnels.
3. Regardez des séries ou des films en version originale sous-titrée en anglais, puis sans sous-titres. C’est un moyen ludique d’améliorer votre compréhension orale et de vous familiariser avec le rythme et les intonations naturels.
4. Participez à des échanges linguistiques en ligne ou en personne. Le contact direct avec des natifs ou des locuteurs avancés est irremplaçable pour corriger ses erreurs et gagner en fluidité.
5. N’ayez pas peur de faire des erreurs ! Chaque faute est une occasion d’apprendre. Ce qui compte, c’est la communication et la persévérance. L’anglais est une langue vivante, et la perfection n’est pas l’objectif, l’efficacité l’est.
Points clés à retenir
Pour exceller en anglais des affaires, une préparation méthodique est essentielle. Comprenez les attentes spécifiques des examens, maîtrisez le vocabulaire professionnel et les subtilités culturelles. Adoptez des stratégies adaptées pour chaque section – écoute, lecture, écriture, oral – et apprenez à gérer votre temps et votre stress. Enfin, intégrez l’anglais dans votre quotidien via des simulations et des réseaux professionnels. C’est en alliant rigueur et immersion que vous transformerez cette compétence en un véritable atout pour votre carrière.
Questions Fréquemment Posées (FAQ) 📖
Q: 1: Comment puis-je me préparer efficacement aux examens d’anglais des affaires pour maximiser mes chances de réussite ?A1: Ah, la préparation ! C’est le nerf de la guerre, n’est-ce pas ? Pour être honnête, quand j’ai commencé, je pensais qu’il suffisait d’apprendre des listes de vocabulaire par cœur. Grosse erreur ! Ce que j’ai découvert, c’est qu’une préparation efficace va bien au-delà. Il faut d’abord comprendre que ces examens, qu’il s’agisse du TOEIC, du Linguaskill, ou d’autres, évaluent votre capacité à communiquer dans un contexte professionnel réel, pas seulement votre connaissance grammaticale pure.Mon premier conseil, et c’est un incontournable, est de diversifier vos sources d’information. Ne vous limitez pas aux manuels scolaires ! Plongez-vous dans l’actualité économique et financière anglophone. Lisez des articles de journaux comme le Financial Times ou le Wall Street Journal, écoutez des podcasts spécialisés, regardez des documentaires sur des entreprises internationales. Cela vous permettra non seulement d’enrichir votre vocabulaire et de comprendre les tournures de phrases spécifiques, mais aussi de vous familiariser avec les réalités économiques et culturelles du monde anglophone, ce qui est souvent implicitement évalué.Ensuite, la pratique active est primordiale. Ne restez pas passif ! Faites des fiches de vocabulaire thématiques (finance, marketing,
R: H, etc.), mais surtout, utilisez-les dans des phrases complètes, idéalement en rédigeant des e-mails professionnels types ou des rapports courts. Personnellement, je me suis forcée à écrire un résumé en anglais d’un article économique que je venais de lire, puis à le traduire en français pour voir mes lacunes.
C’est un exercice qui change tout ! Et n’oubliez pas la grammaire, bien sûr, mais apprenez-la en contexte. Réviser les règles fondamentales (temps, prépositions, voix passive) est essentiel, car les erreurs de structure sont souvent les plus pénalisantes.
Enfin, et c’est peut-être le plus important pour la confiance : simulez les conditions d’examen. Utilisez des annales, faites des exercices chronométrés.
Cela vous aide à gérer votre temps, à identifier les types de questions récurrentes et à réduire le stress le jour J. J’ai constaté que se sentir à l’aise avec le format de l’épreuve est presque aussi important que la maîtrise de la langue elle-même.
N’hésitez pas à chercher des plateformes en ligne qui proposent des préparations spécifiques ; certaines offrent même des séances avec des coaches natifs, ce qui est un atout formidable pour l’oral.
Q2: Quelles sont les erreurs les plus courantes que les francophones font en anglais des affaires, et comment peut-on les éviter ? A2: Excellente question !
On a tous eu notre lot de “faux pas” en anglais, et croyez-moi, moi la première ! Quand j’ai commencé à échanger avec des partenaires étrangers, j’ai vite compris que certaines erreurs étaient de véritables “classiques” pour nous, francophones.
La première, c’est souvent la traduction littérale. On pense “je suis d’accord” et on dit “I am agree” au lieu de “I agree”. Ou “cela dépend de” qui devient “it depends of” au lieu de “it depends on”.
C’est une habitude tenace de vouloir calquer notre syntaxe française, mais en anglais, ça ne marche pas ! Le truc, c’est de désapprendre cette traduction mot à mot et d’intégrer les structures idiomatiques de l’anglais.
Une autre erreur fréquente, et je l’ai souvent observée, concerne les “faux amis”. Par exemple, “actually” ne veut pas dire “actuellement” (qui est “currently”), mais plutôt “en fait”.
Et “to assist” signifie “aider”, pas “assister à” (qui est “to attend”). Ces mots, qui se ressemblent mais ont des sens différents, peuvent entraîner des malentendus assez cocasses, voire embarrassants en réunion.
Mon astuce ? J’ai créé ma propre liste de faux amis, avec des exemples de phrases pour bien m’ancrer la différence. C’est un travail de fourmi, mais tellement utile !
Les prépositions sont aussi un cauchemar pour beaucoup. On les utilise différemment en anglais et en français, et il n’y a pas toujours de logique évidente.
“To agree with someone” mais “to agree on something”. Ce sont des petites nuances qui font toute la différence et signalent immédiatement votre niveau.
Le secret, c’est la pratique contextuelle. Plutôt que d’apprendre des règles abstraites, essayez de mémoriser les expressions figées avec leurs prépositions.
Par exemple, au lieu de juste “depend”, pensez “depend on”. Enfin, la prononciation et l’intonation peuvent nous jouer des tours. En tant que Français, on a tendance à ne pas prononcer le “s” final des pluriels, ou à avoir une intonation plus monocorde.
Les anglophones, eux, prononcent distinctement le “s” des pluriels et mettent l’accent sur certaines syllabes pour donner du sens. Quand je m’enregistrais en parlant, je me rendais compte de mes erreurs de prononciation et de rythme.
C’est un exercice un peu ingrat, mais essentiel pour être bien compris et paraître plus naturel. En bref, soyez conscient de ces pièges typiques et entraînez-vous spécifiquement sur ces points.
Vous verrez que les progrès arrivent vite ! Q3: Comment puis-je renforcer ma confiance en anglais des affaires, en particulier dans des situations d’échanges internationaux ?
A3: Ah, la confiance ! C’est le graal, n’est-ce pas ? On a beau connaître le vocabulaire et la grammaire, si on n’ose pas parler, à quoi bon ?
J’ai longtemps lutté avec ça, surtout quand je me retrouvais face à des natifs ou dans des réunions importantes. Cette anxiété, cette peur de faire une erreur ou de ne pas être compris, c’est un vrai frein.
Mais ce que j’ai appris, c’est que la confiance, ça se construit pas à pas, comme un muscle. Le premier secret, c’est de vous immerger, même si vous ne voyagez pas.
Écoutez, regardez, lisez l’anglais des affaires partout où vous pouvez. Regardez des séries ou des films en VO sous-titrée anglais, puis sans sous-titres.
Écoutez des podcasts professionnels en anglais pendant vos trajets. Plus votre oreille s’habitue aux intonations, aux accents variés et aux expressions courantes, plus vous vous sentirez à l’aise pour les reproduire.
J’ai remarqué que ma compréhension s’est envolée le jour où j’ai arrêté de traduire mentalement chaque mot. Ensuite, osez pratiquer, même avec des petites interactions au début.
N’ayez pas peur de faire des erreurs, c’est comme ça qu’on apprend ! J’ai commencé par des choses simples, comme commander mon café en anglais, puis poser des questions plus complexes.
Si vous avez des collègues anglophones, proposez de faire une partie de vos échanges en anglais. Si ce n’est pas le cas, les plateformes d’échange linguistique ou les cours avec un coach sont de véritables trésors.
Un bon coach peut vous offrir des retours immédiats, corriger vos mauvaises habitudes et même vous donner des astuces culturelles pour naviguer dans des situations professionnelles diverses.
Il m’a personnellement aidé à comprendre que les nuances culturelles sont aussi importantes que les nuances linguistiques ! Parlez de sujets qui vous passionnent.
Si vous êtes passionné par votre domaine d’expertise, il vous sera plus facile de vous exprimer avec fluidité et conviction en anglais. Quand on parle de ce qu’on maîtrise, la confiance monte en flèche.
Préparez quelques phrases clés, des “starters” pour lancer une conversation ou exprimer un désaccord poliment. Et surtout, rappelez-vous que la communication non-verbale est essentielle !
Un sourire, un geste, une posture ouverte peuvent compenser quelques hésitations linguistiques et vous aider à établir un lien, même si vos mots ne sont pas encore parfaits.
La confiance, c’est aussi accepter de ne pas être parfait et d’apprendre en chemin.






