Les secrets pour obtenir votre certification d’anglais professionnel et maîtriser votre budget

webmaster

무역영어 자격증의 취득 절차와 비용 분석 - Here are three detailed image generation prompts in English, adhering to all the specified guideline...

Salut à tous, mes chers explorateurs du monde professionnel ! Aujourd’hui, on va aborder un sujet brûlant qui tient à cœur à beaucoup d’entre nous : l’anglais des affaires.

무역영어 자격증의 취득 절차와 비용 분석 관련 이미지 1

Dans notre monde hyper-connecté, où les échanges commerciaux ne connaissent plus de frontières, maîtriser la langue de Shakespeare n’est plus un simple plus, c’est LA clé pour ouvrir les portes d’une carrière internationale florissante.

Moi qui navigue quotidiennement entre les mails, les visioconférences et les négociations avec des partenaires du monde entier, j’ai vite compris qu’une simple connaissance ne suffisait pas.

Il faut aller plus loin, prouver ses compétences, et c’est là qu’une certification d’anglais des affaires, comme le très reconnu TOEIC, devient un véritable atout stratégique sur le marché du travail français.

Vous vous demandez sûrement par où commencer pour obtenir ce précieux sésame, quelles sont les démarches concrètes et, soyons honnêtes, combien cela va vous coûter en euros ?

Avec l’explosion du télétravail international et la multiplication des plateformes d’e-commerce transfrontalières, la demande pour des profils bilingues ne cesse de croître, et une certification peut transformer votre parcours.

Pas de panique ! Je vais partager avec vous toutes mes découvertes et astuces, en démystifiant les étapes d’inscription et, bien sûr, en décortiquant les coûts associés pour que vous puissiez faire le meilleur choix.

Ensemble, nous allons découvrir comment propulser votre carrière avec une certification d’anglais qui fera toute la différence !

Pourquoi une certification TOEIC est-elle devenue incontournable dans le paysage professionnel français ?

Un passeport pour l’international et au-delà

Mes amis, on ne le répétera jamais assez : le monde bouge, et avec lui, nos carrières ! Il y a quelques années, parler anglais était un atout, un petit plus sympa sur un CV.

Aujourd’hui, et surtout en France où la concurrence est rude pour certains postes, c’est presque une exigence, un prérequis pour franchir de nombreuses portes.

J’ai eu l’occasion de le constater de mes propres yeux en échangeant avec des recruteurs et des DRH. Quand on vise des postes avec une dimension internationale, ou même simplement dans des entreprises qui collaborent avec des partenaires étrangers – et elles sont de plus en plus nombreuses !

– le TOEIC devient un vrai gage de qualité. Il ne s’agit pas juste de savoir baragouiner quelques mots, mais de prouver une réelle capacité à communiquer efficacement, à comprendre des subtilités et à s’exprimer avec assurance.

C’est ce qui m’a poussée à me lancer, car j’ai réalisé que ma bonne volonté seule ne suffisait pas. Il fallait une preuve concrète de mes compétences linguistiques pour vraiment me distinguer, surtout quand on sait que beaucoup d’entreprises françaises exportent ou sont des filiales de groupes internationaux.

Reconnaissance et crédibilité : le poids des chiffres

Ce qui m’a vraiment convaincue de l’utilité du TOEIC, c’est sa reconnaissance. Ce n’est pas un petit diplôme inventé dans un coin, non ! C’est une certification standardisée, acceptée et respectée par des milliers d’organisations, d’universités et d’entreprises à travers le monde.

En France, il est même souvent demandé dans les grandes écoles, les écoles de commerce, et de plus en plus par les employeurs, notamment dans les secteurs de la finance, du commerce international, du marketing, ou de la technologie.

Quand un recruteur voit votre score TOEIC, il sait exactement à quoi s’attendre en termes de compétences linguistiques. C’est un langage universel pour évaluer le niveau d’anglais professionnel.

J’ai un ami qui travaille dans l’aéronautique et il m’a raconté comment son score TOEIC a fait la différence lors de son embauche pour un poste qui nécessitait des échanges fréquents avec des fournisseurs américains.

Sans cette preuve tangible, son dossier aurait eu moins de poids. C’est cette crédibilité qui fait toute la force du TOEIC, et qui en fait un investissement si judicieux pour notre avenir professionnel.

Décortiquer le TOEIC : ce qu’il faut savoir sur sa structure

Deux épreuves distinctes mais complémentaires

Alors, comment ça se passe concrètement ? Le TOEIC se compose principalement de deux sections majeures : le “Listening and Reading” et le “Speaking and Writing”.

Souvent, quand on parle du TOEIC “classique” ou “public”, on fait référence au Listening and Reading, qui est le plus répandu et celui que la plupart des entreprises exigent.

C’est une épreuve sous forme de QCM (questions à choix multiples) qui dure environ 2 heures et demie. Elle est conçue pour évaluer votre compréhension orale et écrite dans un contexte professionnel.

Il y a des extraits audio à écouter (conversations, annonces, messages) et des textes à lire (mails professionnels, rapports, articles). Ce que j’ai trouvé vraiment bien, c’est que les situations sont très ancrées dans le quotidien des affaires, ce qui rend l’entraînement pertinent et utile.

On ne nous demande pas de faire de la littérature anglaise, mais de comprendre des directives, des négociations, des présentations, des documents de travail.

Mon expérience des différents formats

Personnellement, j’ai passé le Listening and Reading, et j’ai trouvé que c’était un excellent révélateur de mes forces et faiblesses. On se rend compte très vite des domaines où on est à l’aise et ceux qui demandent un peu plus de travail.

Pour le Speaking and Writing, c’est une autre paire de manches, même si c’est tout aussi intéressant. Cette partie évalue votre capacité à vous exprimer oralement et par écrit, à décrire des images, à répondre à des questions, à donner votre opinion, à rédiger des mails.

Je connais des collègues qui l’ont passé et qui ont trouvé que c’était très formateur pour améliorer leur fluidité et leur clarté. Souvent, les deux tests sont passés séparément, et il faut bien vérifier quelle certification est attendue par l’organisme ou l’employeur.

Moi, je me suis concentrée sur le Listening and Reading en premier lieu car c’était ce qui était le plus demandé pour les opportunités que je visais, et je peux vous dire que l’entraînement m’a vraiment aidée à gagner en confiance, non seulement pour le test, mais aussi dans mes interactions quotidiennes en anglais.

Advertisement

Mon cheminement vers l’excellence : préparer son TOEIC avec succès

Des ressources à portée de main

Quand j’ai décidé de me lancer, la première question que je me suis posée a été : comment bien me préparer ? C’est un test standardisé, donc il y a des méthodes et des astuces à connaître.

Heureusement, le web regorge de ressources. J’ai commencé par des livres de préparation spécifiques au TOEIC, avec des exercices types et des CD audio pour la partie écoute.

Certains organismes proposent aussi des formations en ligne, avec des plateformes interactives et des tests blancs. C’est d’ailleurs ce que j’ai finalement choisi de faire, car la flexibilité m’allait parfaitement.

J’ai pu m’entraîner à mon rythme, après mes journées de travail, en me concentrant sur mes points faibles. Il existe des applications mobiles super pratiques aussi, pour réviser du vocabulaire ou faire de petits exercices quand on a cinq minutes.

L’important est de trouver la méthode qui vous correspond le mieux, celle qui vous motive à être régulier.

L’importance d’une stratégie personnalisée

Ce que j’ai appris, c’est qu’il ne suffit pas de faire des exercices sans stratégie. Il faut comprendre la logique du test, la gestion du temps, et surtout, identifier où vous avez le plus besoin de progresser.

Pour ma part, la section “Reading” était un peu plus délicate à cause de la vitesse de lecture et de la quantité d’informations à absorber. J’ai donc mis l’accent sur des exercices de lecture rapide et d’identification des idées principales.

J’ai aussi enregistré ma voix en répondant à des questions pour m’auto-évaluer, et ça, c’était un vrai choc ! On se rend compte de nos tics de langage, de nos hésitations.

N’hésitez pas à demander de l’aide à un anglophone ou un professeur si vous le pouvez, un retour extérieur est toujours précieux. J’ai eu la chance d’avoir une amie bilingue qui a accepté de faire quelques simulations avec moi, et ça a été un vrai coup de pouce pour ma prononciation et ma confiance en moi.

Chaque petit pas compte, et c’est la régularité qui paie.

Les démarches concrètes : s’inscrire au TOEIC en France

Trouver votre centre d’examen idéal

Une fois que vous vous sentez prêt, l’étape suivante, c’est l’inscription ! Et là, bonne nouvelle, c’est plutôt simple. En France, il y a de nombreux centres d’examen agréés par ETS Global, l’organisme qui gère le TOEIC.

Il peut s’agir d’universités, de grandes écoles, d’organismes de formation ou même de centres de langues privés. La première chose à faire est de vous rendre sur le site officiel d’ETS Global France, vous y trouverez une carte interactive ou une liste des centres les plus proches de chez vous.

Pensez à vérifier les dates de session disponibles, car elles peuvent varier d’un centre à l’autre. J’ai choisi un centre proche de mon travail pour des raisons pratiques, et c’était vraiment confortable de ne pas avoir à traverser toute la ville le jour J.

L’ambiance était calme et professionnelle, ce qui aide beaucoup à rester concentré.

Les options d’inscription : en ligne ou via un organisme

L’inscription se fait généralement en ligne, directement sur le site d’ETS Global. Vous créez un compte, vous choisissez votre test (TOEIC Listening and Reading, ou Speaking and Writing), la date et le centre d’examen, et vous payez.

C’est assez intuitif. Par contre, si vous passez par un organisme de formation qui propose des cours de préparation au TOEIC, il est très fréquent que l’inscription au test soit incluse dans le forfait de la formation.

Dans ce cas, c’est l’organisme qui s’occupe de toutes les démarches pour vous, ce qui peut être un gain de temps et de tranquillité d’esprit. J’ai des amis qui sont passés par ce biais et ils ont apprécié de ne pas avoir à se soucier de la paperasse.

C’est une option à considérer si vous suivez déjà une formation ou si vous préférez une solution clé en main. N’oubliez pas qu’il faut prévoir un peu de temps à l’avance pour l’inscription, surtout si vous visez une date précise, car les places peuvent partir vite dans certains centres.

Advertisement

Le coût du sésame : démystifier les tarifs du TOEIC en 2025

무역영어 자격증의 취득 절차와 비용 분석 관련 이미지 2

Frais standards et suppléments éventuels

Ah, la question qui fâche souvent : combien ça coûte ? Soyons clairs, une certification, c’est un investissement. Le prix du TOEIC Listening and Reading en France, pour une inscription individuelle, tourne généralement autour de 150 à 180 euros.

Ce tarif peut légèrement varier en fonction du centre d’examen ou des options que vous choisissez. Il y a parfois des frais supplémentaires si vous souhaitez recevoir un certificat papier en plus de l’attestation numérique, ou si vous avez besoin d’un relevé de notes additionnel.

Il est crucial de bien lire les conditions et le détail des tarifs au moment de l’inscription pour éviter les surprises. J’ai vu des amis se faire piéger par des frais cachés pour des options qu’ils ne voulaient pas forcément.

Pour ma part, j’ai opté pour l’option de base, car l’attestation numérique me suffisait amplement pour mes démarches. Gardez à l’esprit que ce prix est pour le passage du test, la préparation est une autre histoire qui peut aussi avoir un coût, entre les livres, les applications ou les formations.

Financer sa certification : le Compte Personnel de Formation (CPF)

Mais la bonne nouvelle, c’est que l’investissement peut être allégé ! En France, nous avons un outil formidable : le Compte Personnel de Formation (CPF).

C’est une aide précieuse qui permet à de nombreux actifs de financer des formations qualifiantes, et le TOEIC en fait partie ! Pour utiliser votre CPF, il faut que la certification TOEIC soit incluse dans un parcours de formation éligible.

Beaucoup d’organismes proposent des formations qui intègrent le passage du TOEIC, et ces formations sont souvent finançables via le CPF. J’ai plusieurs connaissances qui ont pu passer leur TOEIC sans débourser un centime grâce à cela.

C’est une démarche simple : vous consultez votre solde CPF sur le site “Mon Compte Formation”, vous recherchez une formation “TOEIC” éligible, et vous vous inscrivez.

C’est vraiment un coup de pouce à ne pas négliger ! Voici un petit tableau récapitulatif des options de financement courantes :

Option de Financement Description Conditions / Avantages
Fonds personnels Paiement direct par le candidat. Liberté totale sur le choix du centre et de la date.
Compte Personnel de Formation (CPF) Utilisation des droits à la formation cumulés. Finance la formation ET le passage du test. Nécessite une formation éligible.
Aide de l’employeur Prise en charge partielle ou totale par l’entreprise. Souvent pour des besoins spécifiques liés au poste. Discuter avec sa hiérarchie.
Pôle Emploi ou Région Aides pour les demandeurs d’emploi ou des dispositifs régionaux. Varie selon la situation et la région. Se renseigner directement auprès de ces organismes.

Mes astuces pour maximiser votre score et éviter les pièges

La gestion du temps, votre meilleur allié

Le jour J, ce n’est pas seulement votre niveau d’anglais qui est testé, mais aussi votre capacité à gérer le stress et le temps. C’est un test long, et la fatigue peut s’installer.

Mon meilleur conseil : entraînez-vous en conditions réelles, avec un chronomètre. J’ai découvert que je perdais énormément de temps à relire plusieurs fois les mêmes phrases dans la section lecture.

En me forçant à respecter des délais stricts pendant mes entraînements, j’ai amélioré ma rapidité et ma concentration. Ne restez pas bloqué sur une question, car chaque minute compte.

Si vous ne savez pas, tentez votre chance (c’est un QCM, il n’y a pas de points négatifs !) et passez à la suivante. Le but est de répondre à un maximum de questions de manière éclairée.

J’ai aussi appris à faire des micro-pauses mentales entre les sections, histoire de respirer un coup et de repartir de plus belle.

Affiner votre écoute et votre lecture : des exercices ciblés

Pour l’écoute, il faut habituer son oreille à différentes intonations et accents (américain, britannique, australien, etc.). Regardez des séries en VO, écoutez des podcasts professionnels en anglais, même des émissions de radio.

Plus vous êtes immergé, plus votre cerveau s’adaptera. J’ai commencé à écouter un podcast économique américain tous les matins en allant au travail, et j’ai été bluffée par les progrès en quelques semaines.

Pour la lecture, c’est pareil. Lisez des articles de presse anglophones sur l’économie, la technologie, les affaires. Essayez de deviner le sens des mots inconnus grâce au contexte avant de chercher la traduction.

L’idée, c’est de construire une compréhension globale plutôt que de traduire mot à mot. Et n’oubliez pas les mots de liaison, les connecteurs logiques, ils sont souvent la clé pour bien comprendre la structure d’un texte et répondre correctement aux questions.

C’est vraiment en pratiquant régulièrement, même 15-20 minutes par jour, que vous verrez la différence.

Advertisement

Au-delà du score : valoriser votre certification TOEIC dans votre carrière

Mettre en avant vos compétences sur votre CV et LinkedIn

Une fois que vous avez votre score en poche, la mission n’est pas finie ! Il faut le valoriser. La première chose à faire, c’est de l’afficher fièrement sur votre CV et sur votre profil LinkedIn.

Ne vous contentez pas de marquer “Anglais : bon niveau”. Non ! Mentionnez “TOEIC : [votre score] points (Date du test)”.

Cela donne une indication précise et reconnue de votre niveau. J’ai vu des candidats qui mettaient leur score sans la date, et ça peut être un problème si le test date de plus de deux ans, car les recruteurs aiment la fraîcheur des compétences.

N’hésitez pas à créer une section dédiée aux certifications linguistiques. Et sur LinkedIn, vous pouvez même lier votre certification à votre profil, ce qui ajoute une couche de crédibilité et de preuve.

C’est un signal fort envoyé aux recruteurs : non seulement vous parlez anglais, mais vous l’avez prouvé par un examen reconnu.

L’impact sur vos opportunités professionnelles

Ce score, c’est bien plus qu’un chiffre. C’est une porte qui s’ouvre. J’ai remarqué que depuis que j’ai mis à jour mon profil avec mon score TOEIC, j’ai été contactée pour des opportunités que je n’aurais pas forcément vues avant, des postes avec une dimension internationale plus marquée.

C’est comme si j’avais passé un niveau supérieur dans un jeu vidéo ! Cela montre votre proactivité et votre sérieux. De plus, lors des entretiens, si l’anglais est mentionné, vous pouvez aborder le sujet avec plus d’assurance, en appuyant sur votre certification.

Cela peut aussi vous donner accès à des missions à l’étranger, des projets avec des équipes multiculturelles, ou simplement plus d’aisance dans les réunions avec des interlocuteurs anglophones.

C’est un réel booster de carrière, croyez-moi. Le TOEIC, ce n’est pas juste un test, c’est un tremplin pour vos ambitions !

À la fin de cet article

Voilà, mes amis, nous avons parcouru ensemble le chemin passionnant qui mène à la certification TOEIC ! J’espère sincèrement que ces partages d’expérience et ces petites pépites d’informations vous éclaireront et vous donneront l’élan nécessaire pour vous lancer ou pour affiner votre préparation. Ce test, loin d’être une simple formalité, est une véritable opportunité de faire briller vos compétences linguistiques et d’ouvrir de nouvelles perspectives dans votre parcours professionnel en France et à l’international. C’est un investissement en vous-même qui, je peux vous l’assurer, portera ses fruits. Alors, respirez un grand coup, préparez-vous avec méthode et confiance, et allez décrocher le score qui vous ressemble et qui vous ouvrira de si belles portes !

Advertisement

Informations utiles à connaître

1. Le score TOEIC est généralement valable pour une durée de deux ans. C’est une information cruciale à garder en tête, car les recruteurs et les établissements d’enseignement supérieur apprécient une certification “fraîche” qui atteste de votre niveau actuel. Si vous avez passé le test il y a plus de deux ans et que vous postulez pour une nouvelle opportunité exigeant le TOEIC, il pourrait être judicieux de le repasser pour montrer que votre niveau d’anglais est toujours à jour et opérationnel. C’est aussi une excellente occasion de mesurer vos progrès si vous avez continué à pratiquer la langue.

2. N’oubliez pas la distinction entre le TOEIC Listening and Reading et le TOEIC Speaking and Writing. Bien que le premier soit le plus souvent demandé dans le monde professionnel, le second est de plus en plus valorisé pour les postes qui exigent une communication orale et écrite active. Assurez-vous de bien vérifier quel format de test est attendu par l’institution ou l’employeur qui vous le demande. Les deux tests évaluent des compétences complémentaires et peuvent chacun apporter une valeur ajoutée significative à votre profil.

3. La régularité est la clé de la réussite ! Inutile de vous noyer sous des heures de révision intensives la veille de l’examen. Préférez des sessions courtes mais quotidiennes, ne serait-ce que 15 à 30 minutes. Cela peut être de l’écoute de podcasts en anglais pendant votre trajet, la lecture d’un article de presse internationale, ou quelques exercices de grammaire. Cette immersion constante permet à votre cerveau de s’habituer progressivement à la langue et de consolider vos connaissances sans vous épuiser. C’est la méthode que j’ai adoptée et elle a vraiment fait la différence pour moi.

4. Ne négligez jamais les fondamentaux : grammaire et vocabulaire. Le TOEIC est un test de compétence professionnelle, mais il s’appuie sur une base solide en anglais général. Reprenez les règles de grammaire qui vous posent problème, enrichissez votre vocabulaire professionnel et courant. Il existe de nombreuses applications et ressources en ligne, souvent gratuites, pour vous aider à réviser. Un bon niveau de vocabulaire vous aidera à comprendre les nuances des textes et des conversations, et une maîtrise de la grammaire vous permettra de répondre avec plus de précision aux questions.

5. Les tests blancs sont vos meilleurs alliés. Ils vous permettent non seulement d’évaluer votre niveau actuel, mais surtout de vous familiariser avec le format du test, la gestion du temps et le type de questions posées. Faites-en plusieurs en conditions réelles, avec le chronomètre, et analysez attentivement vos erreurs. Cela vous aidera à identifier vos points faibles et à ajuster votre stratégie de préparation. C’est aussi un excellent moyen de réduire le stress le jour J, car vous saurez exactement à quoi vous attendre et cela vous donnera une confiance précieuse.

Points importants à retenir

En résumé, mes chers lecteurs, le TOEIC est bien plus qu’une simple certification ; c’est un véritable atout stratégique dans le paysage professionnel français actuel. Sa reconnaissance internationale en fait un gage de crédibilité incontestable pour les recruteurs. Pour s’y préparer efficacement, une combinaison de ressources variées et une stratégie personnalisée, axée sur la gestion du temps et la pratique ciblée, sont essentielles. N’oubliez pas les options de financement comme le CPF qui peuvent alléger considérablement cet investissement. Une fois votre score en poche, valorisez-le sur tous vos supports professionnels, car il ouvre des portes inattendues et enrichit votre parcours de manière significative. C’est une démarche proactive qui témoigne de votre ambition et de votre capacité à évoluer dans un monde de plus en plus globalisé. Alors, prêts à relever le défi ?

Questions Fréquemment Posées (FAQ) 📖

Q: 1: Pourquoi une certification d’anglais des affaires comme le TOEIC est-elle devenue un véritable “must-have” pour booster sa carrière en France aujourd’hui ?

R: >
A1: Ah, excellente question, et je la reçois tellement souvent ! Vous savez, moi qui jongle quotidiennement avec des interlocuteurs du monde entier, je peux vous le dire : l’anglais n’est plus juste une option sympa sur un CV, c’est LA monnaie d’échange universelle, le passeport indispensable pour naviguer dans le monde professionnel actuel.
Les entreprises, qu’elles soient petites ou grandes, françaises ou multinationales, sont de plus en plus connectées, et la maîtrise de l’anglais est devenue un levier majeur de développement.

Pensez-y : en 2025, plus de 65 % des offres d’emploi qualifiées exigent un niveau minimum d’anglais professionnel. Ce n’est pas rien ! Et pour cause, que ce soit pour des réunions à distance, des plateformes e-commerce transfrontalières ou des projets internationaux, l’anglais est partout.
Un bon score au TOEIC, par exemple à partir de 750 points, ce n’est pas seulement un chiffre, c’est une preuve concrète que vous êtes opérationnel(le) dans un contexte professionnel anglophone.
D’ailleurs, une étude a même montré que 60% des candidats en recherche d’emploi en 2022 ont vu leur embauche facilitée par leur score TOEIC. C’est ça, le pouvoir d’une certification : elle atteste de votre niveau de manière objective, ce qui est très apprécié des recruteurs.
Pour moi, c’est clair : c’est un investissement qui vous démarque, ouvre les portes à des promotions, des projets internationaux, et même à des salaires plus attractifs !
C’est un peu votre super-pouvoir caché sur le marché du travail français.

Q2: Je suis convaincu(e) ! Mais concrètement, comment s’y prendre pour s’inscrire au TOEIC en France ?

Est-ce compliqué ?

A2: Non, absolument pas compliqué, mes chers ! L’inscription au TOEIC, et je parle du classique TOEIC Listening and Reading qui est le plus demandé, se fait aujourd’hui principalement en ligne, directement sur le site d’ETS Global.
C’est super pratique et pensé pour nous simplifier la vie.
Voici comment ça se passe généralement, et c’est ce que j’ai pu observer : vous allez sur leur site, vous choisissez le test “TOEIC Listening and Reading” (souvent sous le “Programme Public” qui inclut votre photo sur le certificat de score, ce qui est un plus).
Ensuite, vous sélectionnez une date et un centre d’examen. Il y en a partout en France, dans toutes les grandes villes comme Paris, Lyon, Lille, ou Toulouse, donc vous trouverez forcément une option proche de chez vous.
Mon petit conseil, fruit de l’expérience : ne traînez pas ! Même si les inscriptions sont ouvertes jusqu’à 10 à 14 jours avant la session, les places peuvent partir vite.
Visez plutôt un mois à l’avance pour être sûr(e) d’avoir le choix et de ne pas stresser.
Une fois votre inscription finalisée et le paiement effectué, vous recevrez une convocation par e-mail avec toutes les informations nécessaires.
Le jour J, munissez-vous d’une pièce d’identité valide avec photo et signature. Et sachez que toute absence ou désistement après inscription ne donne généralement pas droit à un remboursement, alors soyez bien sûr(e) de votre date !
C’est une démarche très fluide quand on sait par où commencer.
Q3: Tout ça a l’air génial, mais soyons francs, combien ça coûte de passer le TOEIC en France ?
Y a-t-il des aides possibles ?


A3: Excellente question, car l’aspect financier est toujours une préoccupation légitime ! Alors, pour le fameux TOEIC Listening and Reading, le prix public tourne généralement autour de 179 €.
Cependant, les tarifs peuvent varier légèrement selon les centres et les offres promotionnelles du moment. J’ai par exemple vu des options autour de 159 € chez certains partenaires.
Si vous optez pour d’autres versions comme le TOEIC Speaking and Writing, attendez-vous à un coût similaire, voire un peu plus élevé, ou le TOEIC Bridge qui est souvent plus abordable, autour de 80 €.

En plus du test, il y a quelques options à considérer. Le certificat numérique est inclus et gratuit, ce qui est super ! Mais si vous voulez un joli certificat papier officiel, cela coûte environ 16 € supplémentaires.
Et si vous êtes pressé(e) de recevoir vos résultats, une correction express est possible pour environ 30 €, vous les aurez en 2 à 5 jours au lieu des 10 à 15 jours habituels.

Maintenant, la bonne nouvelle, c’est qu’il existe des aides pour alléger ce coût ! La solution la plus populaire et que j’ai vue aider de nombreux professionnels, c’est le Compte Personnel de Formation (CPF).
Si vous êtes salarié(e) ou avez travaillé, vous cumulez des droits (500 € par an, jusqu’à 5 000 € !) que vous pouvez utiliser pour financer non seulement le passage du TOEIC, mais aussi des formations de préparation.
C’est une opportunité en or ! Il suffit de vérifier que la formation et la certification sont bien éligibles sur la plateforme Mon Compte Formation.
Si vous êtes demandeur(euse) d’emploi, n’hésitez pas à vous rapprocher de France Travail (anciennement Pôle Emploi), car ils peuvent parfois cofinancer la certification ou la formation associée.
Votre employeur peut aussi être un partenaire dans le financement si cela s’inscrit dans votre développement professionnel. Mon conseil personnel : renseignez-vous bien sur toutes ces pistes avant de vous lancer, car passer le TOEIC est un investissement rentable pour votre carrière, et il serait dommage de passer à côté d’une aide !

Advertisement